Le nombre croissant de réfugiés, demandeurs d’asile et migrants pose l’épineuse question de leur prise en charge psychologique. En effet, lorsqu’on parle de réfugiés et de leurs besoins, l’on pense généralement à un abri, à de la nourriture, de l’eau ou encore au besoin de protection. Comme dans beaucoup de domaines, la santé mentale n’est pas souvent prise en compte. Et pourtant, ces groupes sont exposés à des facteurs de risque de troubles mentaux avant, pendant et après la migration.
Les réfugiés et demandeurs d’asile présentent des taux plus élevés de troubles de stress post-traumatique. Des conditions socio-économiques
difficiles sont aussi associées à une augmentation des taux de dépression 5 ans après leur réinstallation.
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Selon l’OMS, une personne sur trois vivra une expérience de trouble de la santé psychique dans sa vie. Ces chiffres témoignent d’un fait : aujourd’hui, la santé mentale est une affaire de tou⋅te⋅s.
Rejoignez le mouvement pour mettre fin à la stigmatisation de la santé mentale et rendre les soins accessibles à tous en Afrique.
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